Sur la déculturation des Instituts de Sciences Politiques
Intéressante analyse d’Ivan Rioufol sur la récente suppression de l’épreuve de Culture Générale de Sciences Po Paris, celle-ci n’étant que la première d’une série de suppression d’épreuves dans un esprit de déculturation des jeunes français. Evidemment, on peut supposer que l’Institut de Sciences Po Rennes suivra à n’en pas douter le même chemin…
La déculturation en cours est beaucoup plus préoccupante qu’une éventuelle perte de notre triple A par les agences de notation. Or ce processus d’amnésie collective, enclenché par une école qui ne sait plus quoi transmettre à la jeunesse sinon le strict minimum, laisse de marbre ceux qui ne voient de désastre que dans la crise économique. C’est ainsi que le directeur de Sciences Po Paris, Richard Descoings, caricature du politiquement correct, vient d’annoncer la suppression de l’épreuve de culture générale au concours d’entrée, sous les encouragements de ceux qui dénoncent une « discrimination sociale » dans cette sélection qui pénaliserait la diversité culturelle. Valérie Pécresse avait elle-même, en 2010, invité les grandes écoles à revoir à la baisse les exigences de leurs concours afin de les ouvrir aux enfants de l’immigration extra-européenne. Sciences Po Paris privilégiera désormais l’entretien individuel et le jugement sur la personnalité du candidat, en fonction de son « engagement dans la vie associative, sportive, culturelle, politique ou syndicale », comme l’explique la direction de l’établissement.
En 1972, célébrant le centanaire de l’Institut, Georges POMPIDOU, un Président cultivé, cita « KIEL à TANGER » de Charles MAURRAS, en présence des descedants du Baron BOUTMY, fondateur de Sciences Politiques.
Aujour’d’hui, gouvernée par des incultes et des mondialistes, Sciences PO sera ouverte aux Français issus de l’immigration, et pour faire avaler la pilulee, on supprime la culture générale. Elle est bele leur république!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!