AuteursCritique littéraireMilitantisme

Le nouveau numéro de la NRU est paru !

Fondée en 1920 par Jacques Bainville, reprise par l’équipe de Politique magazine, la Nouvelle revue universelle – trimestrielle – est de la même qualité. Elle se situe parmi les revues de réflexion comme Commentaires ou Esprit. Nous avons de la chance de disposer d’un tel instrument : à nous de la faire connaître !… Abonnez-vous, faites abonner vos amis et connaissances, donnez des adresses de professeurs d’universités, d’intellectuels…

            Au sommaire de ce numéro 27 (janvier – février – mars 2012) :

Comme il est naturel, la Revue s’ouvre d’abord par les deux hommages qu’ils méritent rendus aux deux amis qui nous ont quittés cette année : Gilles Varange (pour Xavier Walter) et André Pertuzio (pour François-Georges Dreyfus) s’unissent à Hilaire de Crémiers  pour saluer leur travail et leur dévouement, et rappeler la place au’ils ont si longtemps et si bien tenue au sein de la NRU…

         Puis c’est Yvan Blot qui traite du thème Le goufre des finances publiques. Il faut en lire, évidemment, l’intégralité, mais comment ne pas allècher le lecteur en donnant juste le dernier paragraphe : avec un humour cruel, lorsqu’il vient de parler de la gabégie des finances publiques en France, il conclut par ces sept lignes :

        « Petit fait significatif : la Suisse s’appelle officiellement en allemand, Schweizerische Eidgenossenchaft. On traduit à tort, y compris en Suisse, par Confédération suisse. Mais le mot « genossenchaft » signifie « association de copropriétaires ». « Eid » veut dire « serment ». Mot à mot, l’expression signifie « Association de copropriétaires unis par un serment de se défendre en commun ». Nous sommes loin de la puissance publique socialiste ou de l’Etat abstrait des Jacobins. »

        Puis, Yves Morel consacre sa réflexion au Modèle social français, de l’utopie à l’entropie;  tandis que Yves-Marie Laulan signe un En fin de mandat : un bilan largement négatif; et François Jourdier revient sur La départementalisation de Mayotte et ses conséquences, dans lequel il écrit, entre autres :  « ….La France a commis, sciemment, une erreur dont elle se mordra les doigts mais qu’on ne voit guère comment réparer… »

        Yvan Blot revient, ensuite, pour proposer une courte réflexion sur L’art idéologique contemporain; et Jean du Verdier propose la première partie d’ Un nouveau Candide, Conte philosophique, drôlatique et optimiste, qui sera publié en trois épisodes dans la Revue.

        Yves-Henri Allard clôture – spirituellement mais avec gravité aussi… – ce numéro 27 par Le professeur A. Sinus dresse l’oreille et Le ravage de Syrte….

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.