Politique

La gauche institutionnelle et son combat contre les valeurs

La rose du Parti SocialisteAvec une constance idéologique qui n’a d’égal que son aptitude à dissimuler ses intentions véritables, la gauche a décidé d’anéantir les fondements séculaires qui structurent en profondeur la société française.

Au fil de réformes ‘‘sociétales’’ habilement programmées, une puissante offensive souterraine est à l’œuvre : celle-ci demeure dès lors bien peu perceptible par une opinion publique largement anesthésiée par la propagande libertaire du système politico-médiatique en place. Les signes récents qui se multiplient ici ou là nous persuadent en tous les cas de la détermination des activistes de la gauche institutionnelle, aujourd’hui solidement installée à la tête de l’Etat, à bouleverser patiemment tous nos repères ancestraux au nom d’une conception dévoyée de la modernité, en réalité toute acquise aux dogmes permissifs du matérialisme ambiant. Au cœur de ce projet politique subversif, un objectif domine : la destruction méthodique du cadre anthropologique qui configurait depuis toujours la conception universelle de l’homme, dans le but inavoué de promouvoir l’émergence d’un homme nouveau qui serait dépouillé des attributs de son irréductible dignité.

Contre l’avis de la majorité silencieuse des Français, le pouvoir socialiste s’apprête à adopter la loi autorisant le ‘’mariage’’ entre personnes homosexuelles, en attendant de faire inscrire dans notre droit ses inévitables prolongements législatifs, de la procréation médicale assistée à la gestation pour autrui : après avoir fait son entrée discrète dans les manuels scolaires dès la rentrée 2011, la théorie anglo-saxonne du gender, – qui récuse la différence naturelle des sexes pour mieux promouvoir une conception déstructurée de la sexualité – trouve ici une formidable consécration normative. Pour convertir les esprits, surtout les plus vulnérables, les prosélytes ne manquent pas à l’appel : appliquant par avance les consignes de son collègue au gouvernement, Vincent Peillon, ministre de l’Education nationale, qui invitait début janvier 2013 les recteurs d’académies à « s’appuyer sur la jeunesse pour changer les mentalités », Najat Vallaud-Belkacem n’a-t-elle pas su, en ministre zélée, porter la bonne parole dans l’enceinte des établissements scolaires dès octobre 2012 pour y vanter les mérites du ‘‘mariage’’ homosexuel auprès de nos chères têtes blondes !

Source et suite de l’artile sur le site du Centre Royaliste d’Action Française

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