Economie

Impôts locaux. Six ans d’évolution en Bretagne

Pour cause d’élections en 2014, peu de communes ont augmenté, cette année, leur pression fiscale. Mais qu’en est-il sur la durée de la mandature qui s’achève ? Voici l’évolution des taux dans 90 villes bretonnes, de 2008 à 2013.

C’est bien connu, la fiscalité locale est très liée au cycle électoral. En général, pour financer leurs programmes, les nouvelles municipalités augmentent dès leur installation la pression fiscale. Puis cette pression diminue, voire se stabilise, au fur et à mesure qu’approche la fin de la mandature et donc, la perspective de revenir devant les électeurs. En faisant le pari que ces derniers auront la mémoire courte.Cette mandature n’a pas fait exception à la règle. Pour beaucoup de contribuables, l’automne 2009, année post-électorale, reste un très mauvais souvenir. Un vrai coup de massue. Nombreuses avaient été les communes, notamment en zone urbaine et péri-urbaine, à augmenter lourdement leurs taux. À Quimperlé et Erquy, ceux de la taxe d’habitation avaient fait un bond de 18 % ! À Plérin, la hausse avait été de 10 % et de 7 % à Concarneau et Morlaix. À cette hausse des taux, les contribuables avaient dû encaisser, en plus, une très forte augmentation des bases (+3,5 %).

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