Breizh Impacte, pour une Bretagne gagnante
Le nouveau site de Breizh Impacte présente en 12 points les grands axes de la politique économique et culturelle que Breizh Impacte souhaite promouvoir en Bretagne pour maîtriser l’avenir de manière simple, courte, claire et précise. Si l’on peut regretter la vision clairement européiste du projet, qui oblitère malheureusement complètement l’échelon national français, de nombreux points restent très intéressants et ont le mérite de poser concrètement des bases de réflexions pour l’avenir de la Bretagne.
Quelques points importants :
- Economie : Donner la préférence aux entreprises locales face aux grands groupes industriels. Orienter l’épargne vers le tissu économique breton. Maîtriser le phénomène « volets clos » côtier.
- Ecologie : Favoriser un retour à une qualité de l’eau satisfaisante. Mettre en œuvre des politiques économiques et d’aménagement basées sur le respect des écosystèmes et la coopération intelligente entre l’homme et son milieu.
- Géopolitique : Réunifier administrativement la Bretagne. Dynamiser les synergies avec la diaspora bretonne.
- Etc…
Aujourd’hui, ce projet navigue entre un fédéralisme européen, une dévolution « à l’écossaise » pour les régions, oblitérant complètement l’échelon national qui aujourd’hui tombe en réel déliquescence. S’il développe visiblement une réelle attente autonomiste et régionaliste, il lui manque un point essentiel : la prise en compte de la nécessité nationale, de cet Etat français protecteur des identités régionales. Car espérer en une nationalité européenne relève de l’utopie risible… Ni langue commune, ni cultures communes, ni bases politiques communes : les différences sont trop grandes pour réellement concevoir une nationalité « européenne ».
Breizh Impacte est réellement un projet très intéressant et fédérateur : il s’intéresse à la Bretagne, veut poser une saine réflexion pour faire avancer la Bretagne au XXI°Siècle. A nous, royalistes bretons, de faire entendre notre voix dans les projets organisés et de faire avancer ce collectif de bonnes volontés vers la compréhension de la nécessité royale et de l’impératif sursaut national.
Donner la préférence aux entreprises locales face aux grands groupes industriels. Orienter l’épargne vers le tissu économique breton. Maîtriser le phénomène « volets clos » côtier.