Ephéméride bretonne et royaliste du 27 Février
- 1420 : Siège de Lamballe par le Maréchal Raoul de Coëtquen pour que la famille Penthièvre relâche le duc Jean V.
Le 27 février 1420, le maréchal de Bretagne Raoul de Coëtquen, sur ordre de la duchesse Jeanne de France, femme du duc Jean V, met le siège devant Lamballe, capitale du Penthièvre. Elle veut, par cette manoeuvre militaire, obliger la comtesse douarière de Penthièvre, Marguerite de Clisson et ses deux fils Olivier et Charles à relacher son époux, le duc Jean V, que ceux-ci avaient capturé, par attentat, à Chantoceaux, pour le forcer à renoncer, en leur faveur, à ses droits sur le duché de Bretagne. A l’appel de la duchesse Jeanne, toutes les forces militaires de Bretagne se sont levées, on estime l’armée à 18 000 hommes. Lire la suite….
[…]Issu d’une famille modeste, il s’embarque à 11 ans et navigue sur les bateaux de la Compagnie des Indes. Il participe aux conflits franco-britannique en Inde et crée une armée privée qu’il met au service des princes indiens et du Grand Moghol, qui le fait Nabab. Combattant avec les Français contre les Britanniques, il revient au pays après la capitulation. Le Roi l’anoblit et le décore, ce qui lui permet de jouir de sa fortune et de se faire construire de belles demeures à Quimper et aux alentours. Il meurt d’une chute de cheval.[…]
(Source et suite)
- 1823 : Naissance d’Ernest Renan
Ernest Renan, issu d’une famille traditionnelle de Bretagne, perd la foi en suivant les cours du séminaire de Saint-Sulpice, à Paris.
Poursuivant des études de philosophie et de lettres, il élabore un système de pensée positiviste qu’il expose dans L’avenir de la science (1848) et dans son Histoire générale et système comparé des langues sémitiques (1855), un ouvrage aux relents antisémites. Renan fait aussi scandale en 1862 avec sa leçon inaugurale au Collège de France, au cours de laquelle il présente Jésus comme simplement un «homme incomparable».
Sa personnalité originale combine une sensibilité de poète avec une rigueur de positiviste et un humour de philosophe. Il dénonce la vision qui a cours en Allemagne d’une nation fondée sur les liens du sang et de la langue. Lui-même présente la nation comme un «plébiscite de tous les jours» fondé sur le «culte des ancêtres», «la possession en commun d’un riche legs de souvenirs» et «la volonté de continuer à faire valoir l’héritage qu’on a reçu indivis». Les Français de son époque pouvaient se reconnaître dans cette définition. (Source)
Saint breton du jour : St Onen, moine confesseur de l’abbaye de Saint-Méen-le-Grand au 10e siècle, éponyme de Saint-Onen-la-Chapelle
Merci de rendre hommage à René Madec, personnage de légende dont je descends directement. Je peux fournir une photos couleur du héros plus jolie que celle mise sur le site ;:-))
Ha oui ! c’est le tableau de ton salon. Envoie la photo à Augustin.
Amitié Julien.
C’est fait ! Merci beaucoup pour la photo, elle rend évidemment bien mieux que celle que j’avais trouvé ! 😉