Cet étonnant patrimoine à redécouvrir : le Mont Saint Michel
Atlantico s’attarde le temps d’un bel article sur les magnifiques atouts du Mont Saint Michel.
Paris n’est pas la seule. Certes la capitale française est l’une des plus belles villes du monde mais elle ne fait pas à elle seule de la France le pays le plus touristique du monde. Cette première place, l’hexagone l’a obtenu grâce à la variété de ses destinations. Et si l’Ile de France arrive largement en tête en terme de visites par an, c’est le Mont Saint-Michel et ses plus de 3 millions de visite qui monte sur la deuxième marche du podium.
«Inauguré» en l’an 709, année de consécration de la première église bâtie sur le Mont, il a été inscrit au Patrimoine mondial de l’Unesco en 1979. Considéré comme une «Merveille de l’Occident», il se dresse au beau milieu d’une gigantesque baie connue pour abriter les marées les plus impressionnantes d’Europe. A lieu d’exception, visite d’exception. Ainsi c’est en hélicoptère depuis Paris que les visiteurs se rendront au pied du «Rocher». Survol interdit mais aperçu déjà grandiose depuis le ciel au programme. Et ce n’est que le début, la visite du Mont en elle-même réserve bien plus d’agréables surprises…
Car oui, comme tous les sites touristiques, le Mont Saint-Michel pullule régulièrement, pour ne pas dire la majorité du temps, de touristes internationaux. Alors pour éviter les cohues et profiter, en privé, des merveilles les plus méconnues du Mont Saint-Michel, un guide personnel de renom est à la disposition des rares privilégiés pour qui les portes habituellement fermées à double tour s’ouvrent comme par enchantement. Et c’est un tout autre Mont Saint-Michel qui s’offre alors aux visiteurs. Un Mont Saint-Michel en privé, où règnent calme et tranquillité. Mais surtout un Mont Saint-Michel qu’aucun autre touriste ne connaît. Et c’est cette sensation qui rend cette découverte encore plus exceptionnelle puisqu’il s’agit en fait de visiter un endroit auquel très peu de gens ont eu accès malgré les siècles d’existence du «Rocher».