Dernière nouvelle de l’Etat nounou : la sanction de la correction
La nouvelle peut paraître surprenante, sur bien des points : un père de famille a été condamné par le tribunal correctionnel de Limoges à 500 € d’amende avec sursis…pour avoir donner une fessée à son fils. On pourrait croire de prime abord au canular : il n’en est malheureusement rien (Source).
L’influence de l’Etat Socialiste s’accroît donc de jour en jour, donnant maintenant les coups de bâtons financiers aux outrecuidants qui n’auraient adhérer au laxisme éducatif prôné, avec virulence, par la caste boboïsante médiatique. Exit fessée et gifle, corrections et remontrances : le juridique s’est étendu au sein même de la sphère privée, de l’éducation parentale pour condamner les parents qui auraient l’audace de donner une éducation sérieuse à leurs enfants.
Car la fessée ici condamnée n’était nullement le fait d’un père déséquilibré sur un enfant battu, mais tout simplement la logique remontrance donnée à un enfant impoli, celui-ci traitant son père avec irrespect. Le préjudice d’ailleurs plaidé par la présidente relève du risible, si le contexte n’était aussi grave :
« C’est une violence ! Doublé d’un acte humiliant pour l’enfant qui, à 9 ans, se retrouve les fesses à l’air pour se faire frapper »
L’irruption étatique au sein même du domaine éducatif familial pose de sérieuses questions sur la santé politique des institutions républicaines qui, assurément, tendent aujourd’hui au totalitarisme idéologique. S’il faut assurément condamner les réelles violences gratuites envers les enfants, il faut également condamner l’absurde laxisme éducatif qui, en sus de détruire l’équilibre réel de l’enfant, nuit clairement aux liens sociaux de la Nation.