Derrière le chiffre des voitures brûlées, le grand silence sur celui des actes anti-chrétiens
Qui dit fin d’année dit bilan. Si celui de la France n’est pas très bon, il y a au moins une discipline dans laquelle l’Hexagone excelle : la profanation de cimetières, destruction de monuments publics à références chrétiennes et autres violences en tous genres.
Avec fanfares et trompettes, nous connaîtrons bientôt le palmarès de l’un des sports auquel chaque année on se livre dans les banlieues françaises le soir de la Saint-Sylvestre !Gageons qu’avec des accents de circonstance notre bon ministre de l’Intérieur mentionnera une diminution du nombre de voitures incendiées tout en condamnant, non sans raison, des gestes aussi répréhensibles.Mais parmi nos grands sports nationaux, il en est un autre dont le bon docteur comme notre cher Président ne parleront pas encore cette fois en présentant leurs vœux ou en évoquant leur bilan 2012. Et pourtant, chaque année en France, nous battons les records obtenus l’année précédente. En Europe, la France confirme toujours plus sa première place.Etrangement, sur de tels exploits, les médias contribuent à entretenir le silence quand ils ne cherchent pas à les étouffer. Pourtant, nous avons su décliner dans cette activité sportive, assez bien encadrée par des gens de tout poil, nombre de disciplines dans lesquelles en peu d’années nous nous sommes hissés à un très haut niveau qui finira par nous être envié.