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Sur le mariage gay et l’homoparentalité

Intéressant article à lire en intégralité sur le site Itinerarium.fr :

Puisque la gauche, c’est la libération, tout est à libéraliser. Le gouvernement de M. Hollande veut légaliser le mariage pour les personnes de même sexe. Même certains “catholiques” s’y mettent, et réclament une “ouverture” à ce sujet. C’est évidemment déjà dans les moeurs – ceux de la bienpensance, des médias et des gens “cool”. Seul un vieux réactionnaire aigri peut refuser le mariage gay, refuser l’inéluctable, la “tendance”, le “progrès” des valeurs. Mais il y a des arguments puissants pour s’opposer à cette forme d’union. Trois arguments.
 
Le langage 

Des présidents visionnaires ou destructeurs ?

Comme toujours, tout est une affaire de langage. L’habitude a été prise, depuis une douzaine d’années, d’utiliser les termes d’homosexualité ou d’hétérosexualité, au point que personne ne parle plus d’orientation sexuelle normale ou d’orientation sexuelle déviante.

Certains sympathisants de la cause homosexuelle refusent même l’emploi du terme « normal » quand il s’applique à la sexualité. Ils ne tolèrent pas que l’on puisse ainsi porter un jugement de valeur sur les orientations sexuelles ni, par conséquent, réfléchir sur le mariage gay et l’homoparentalité.De plus on ne peut donner un même nom, en l’occurrence “couple” à l’union homosexuelle et à l’union hétérosexuelle. L’union d’un homme et d’une femme est différente de l’union entre deux hommes ou entre deux femmes, à moins de considérer que l’homme est identique à la femme. Il n’y a pas égalité entre un comportement sexuel normal et une orientation sexuelle déviante. Il n’est donc pas  discriminatoire de donner à ces deux types d’union un nom différent, “couple”, comme on l’utilise depuis toujours pour les unions hétérosexuelles et “paire” pour les unions homosexuelles.

On ne peut que constater que si le couple et la paire unissent chacun deux êtres l’une des unions écarte l’altérité sexuelle alors que l’autre se fonde sur la complémentarités des sexes. Ces unions n’ont qu’un point commun , le chiffre deux, ce qui n’est pas suffisant pour qu’on les confonde en leur donnant un même nom et qu’on leur donne un même statut juridique, par exemple le mariage.

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